Le 19 janvier 2017 s’ouvrait au Mémorial de la Shoah à Paris une exposition intitulée: “Shoah et bande dessinée.” Parmi de nombreuses œuvres, on pouvait y voir la bande dessinée Deuxième génération: Ce que je n’ai pas dit à mon père du caricaturiste et professeur de dessin israélien d’origine belge, Michel Kichka, publiée en 2012 (“Auteurs: Michel Kichka”). Dans cette bande dessinée autobiographique, première de l’auteur, Michel Kichka raconte par accoups, de son enfance à la fin de son adolescence, l’influence de son père et surtout du passé de son père, survivants des camps, sur sa propre vie. Le récit de Kichka s’inscrit dans la lignée des récits postmémoriels. Marianne Hirsch, théoricienne du témoignage par procuration qui a développé cette notion, en donne la définition:

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Re/trouver sa place dans l'H/histoire：观点 postmémorielles dans Deuxième génération：Ce que je n'ai pas dit à mon père de Michel Kichka

Le 19 janvier 2017 s'ouvrait au Mémorial de la Shoah à Paris une exposition intitulée：“Shoah et bande dessinée”。Parmi de nombreuses œuvres, on pouvait y voir la bande dessinée Deuxième génération: Ce que je n'ai pas dit à mon père du caricaturiste et professeur de dessin israélien d'origine belge, Michel utelien d'origine belge, ”）。Dans cette bande dessinée autobigraphique, première de l'auteur, Michel Kichka raconte par accoups, de son enfance à la fin de son adolescence, l'influence de son père et surtout du passé de son père, survivants des camps, sur sa propre vie . Le récit de Kichka s'inscrit dans la lignée des récits postmémoriels。Marianne Hirsch, théoricienne du témoignage par procuration qui a développé cette 概念, en donne la définition: