ABSTRACT Le poète Max Elskamp (1862–1931) incarne une figure typique de la littérature belge du XIXe siècle: après avoir fait sans grande passion des études de droit, il renonce assez vite à la carrière d’avocat pour se consacrer d’abord à la poésie, puis assez vite, et en parallèle, à la gravure sur bois. Ce ‘voyageur immobile’ qui n’a presque jamais quitté Anvers, sa ville natale, ni la demeure patricienne remplie d’œuvres d’art et d’objets et livres précieux du boulevard Léopold, a fait venir le monde à lui. Nous voudrions montrer avec cet article que si Huysmans fait de des Esseintes le héros solipsiste qui crée dans son intérieur un climat protecteur qui empêche le monde extérieur de pénétrer dans la sphère privée, et si Goncourt a apposé l’empreinte de son style à ‘l’ordonnancement de la collection’ ; Elskamp, quant à lui, a fait progressivement entrer le monde dans sa maison par ses collections, et ces objets, sont eux-mêmes porteurs de récits.

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马克斯·艾尔斯坎普（Max Elskamp）：Respace du Retrait？

摘要勒克斯·马克斯·埃尔斯坎普（1862-1193年）的肖像在二十世纪初的肖像画上大放异彩。 Lapoésie，puss assez vite等，以及la gravure sur Bois。Ce'voyageur inmobile'quin's presque jamaisquittéAnvers，sa ville natale，nidémeurepatricienne remplie d'œuvresd'art et d'objets et livresprécieuxdu boulevardLéopold，一个常见的纪念世界。Nos voudrions montrer avec cet文章来自Husmans fait de des Esseintes lehérossolipsiste quicréedans sonintérieurun气候保护主义者quiempêchele mondeextérieurdepénétrerdans lasphèreappé 'ordonnancement de la collection'；Elskamp，quantàlui，