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The Trade in African Medicinal Plants in Matonge-Ixelles, Brussels (Belgium).
Economic Botany ( IF 2.6 ) Pub Date : 2017-02-10 , DOI: 10.1007/s12231-016-9365-8
Tinde van Andel 1 , Marie-Cakupewa C Fundiko 2
Affiliation  

Maintaining cultural identity and preference to treat cultural bound ailments with herbal medicine are motivations for migrants to continue using medicinal plants from their home country after moving to Europe and the USA. As it is generally easier to import exotic food than herbal medicine, migrants often shift to using species that double as food and medicine. This paper focuses on the trade in African medicinal plants in a Congolese neighborhood in Brussels (Belgium). What African medicinal plants are sold in Matonge, where do they come from, and to which extent are they food medicines? Does vendor ethnicity influence the diversity of the herbal medicine sold? We hypothesized that most medicinal plants, traders, and clients in Matonge were of Congolese origin, most plants used medicinally were mainly food crops and that culture-bound illnesses played a prominent role in medicinal plant use. We carried out a market survey in 2014 that involved an inventory of medicinal plants in 19 shops and interviews with 10 clients of African descent, voucher collection and data gathering on vernacular names and uses. We encountered 83 medicinal plant species, of which 71% was primarily used for food. The shredded leaves of Gnetum africanum Welw., Manihot esculenta Crantz, and Ipomoea batatas (L.) Lam were among the most frequently sold vegetables with medicinal uses. Cola nuts, shea butter, Aloe vera (L.) Burm.f., and Mondia whitei (Hook.f.). Skeels were the main non-food medicines sold. Women's health, aphrodisiacs, and rituals were the most important medicinal applications, but culture-bound ailments did not entirely dominate the plant uses. While most clients in Matonge were Congolese, most vendors and plant species were not. The Pakistanis dominated the food trade, and typical Congolese plants were sometimes replaced by West African species, creating confusion in vernacular names. African-managed shops had significantly more species of medicinal plants in stock than shops managed by Pakistanis. Almost all non-food herbal medicine was sold by Africans. Apart from informal shops, non-food herbal medicine was also sold from private homes and by ambulant vendors, probably to reduce costs and escape taxes and control by the authorities. We expect that in the future, increasing rent, strict regulations, and decreasing investments by the Congolese community will force the medicinal plant trade in Matonge to go even more underground. Le commerce des plantes médicinales africaines à Matonge-Ixelles, Bruxelles (Belgique). L’Ethnobotanique urbaine, en particulier l’étude des usages des plantes par les migrants en Europe et aux Etats Unis, est une science qui de développe très rapidement. Le souci de maintenir leur identité culturelle et la préférence de traiter des maladies dites de culture par les plantes médicinales, constituent les raisons qui motivent les migrants à continuer à recourir à la pharmacopée traditionnelles de leurs pays d’origine. Comme il est plus facile d’importer les aliments exotiques que les plantes médicinales, les migrants glissent souvent vers les espèces à double usage, à la fois alimentaire et médicinal. Le présent travail se concentre sur le commerce des plantes médicinales Africaines à Matonge-Ixelles, connu comme un quartier populaire Congolais à Bruxelles (Belgique). Quelles plantes médicinales Africaines sont vendues à Matonge, de quelle origine proviennent-elles? Dans quelle mesure ces plantes sont-elles à la fois alimentaires et médicinales? L’ethnicité des vendeurs influence-t-elle la diversité des herbes médicinales vendues? Notre hypothèse était que la plupart des plantes médicinales vendues, les vendeurs et les acheteurs à Matonge étaient d’origine Congolaise, et que les maladies dites de culture joueraient un rôle prépondérant dans l’usage des plantes médicinales vendues. Nous avons conduit des enquêtes sur le marché en 2014 comprenant l’inventaire des plantes médicinales dans 19 points de vente, des entretiens avec 10 clients d’origine Africaine, la collection des specimens, et des données sur les noms vernaculaires des plantes et leurs usages. Nos enquêtes du marché et les entretiens ont permis d’inventorier un total de 83 espèces de plantes médicinales, dont 71% étaient principalement utilisées comme aliments. Les feuilles râpées de Gnetum africanum Welw., Manihot esculenta Crantz et Ipomoea batatas (L.) Lam étaient les légumes les plus vendues comme médicament. Alors que les noix de cola, le beurre de karité, Aloe vera (L.) Burm.f. et Mondia whitei (Hook.f.) Skeels étaient les principales plantes médicinales non comestibles vendues. La santé des femmes, les aphrodisiaques et les plantes rituelles étaient les plantes médicinales les plus dominantes, alors que les affections dites de culture étaient faiblement représentées dans les usages des plantes. Malgré que la majorité des clients à Matonge soient d’origine Congolaise, la plupart des vendeurs des plantes venaient d’ailleurs. Les Pakistanais dominaient le commerce des aliments et les plantes typiquement Congolaises étaient des fois remplacées par des espèces Ouest Africaines, créant ainsi une confusion des noms vernaculaires. Les magasins gérés par les Africains représentaient plus de plantes médicinales en stock comparativement à ceux gérés par les Pakistanais, et presque toutes les plantes médicinale non comestibles étaient vendues par les Africains. L’inspection des points formels de vente n’a pas couvert l’entièreté de la diversité floristique à Matonge: les plantes médicinales non-comestibles étaient aussi vendues depuis des adresses privées, et par des vendeurs ambulants, probablement pour réduire les couts, les taxes exorbitantes, et le contrôle par les autorités. Nous espérons qu’à l’avenir, l’augmentation du loyer, une réglementation stricte et la diminution des investissements par la communauté Congolaise obligera le commerce des plantes médicinales à Matonge de disparaitre dans l’informel. Le commerce des plantes médicinales africaines à Matonge-Ixelles, Bruxelles (Belgique). L’Ethnobotanique urbaine, en particulier l’étude des usages des plantes par les migrants en Europe et aux Etats Unis, est une science qui de développe très rapidement. Le souci de maintenir leur identité culturelle et la préférence de traiter des maladies dites de culture par les plantes médicinales, constituent les raisons qui motivent les migrants à continuer à recourir à la pharmacopée traditionnelles de leurs pays d’origine. Comme il est plus facile d’importer les aliments exotiques que les plantes médicinales, les migrants glissent souvent vers les espèces à double usage, à la fois alimentaire et médicinal. Le présent travail se concentre sur le commerce des plantes médicinales Africaines à Matonge-Ixelles, connu comme un quartier populaire Congolais à Bruxelles (Belgique). Quelles plantes médicinales Africaines sont vendues à Matonge, de quelle origine proviennent-elles? Dans quelle mesure ces plantes sont-elles à la fois alimentaires et médicinales? L’ethnicité des vendeurs influence-t-elle la diversité des herbes médicinales vendues? Notre hypothèse était que la plupart des plantes médicinales vendues, les vendeurs et les acheteurs à Matonge étaient d’origine Congolaise, et que les maladies dites de culture joueraient un rôle prépondérant dans l’usage des plantes médicinales vendues. Nous avons conduit des enquêtes sur le marché en 2014 comprenant l’inventaire des plantes médicinales dans 19 points de vente, des entretiens avec 10 clients d’origine Africaine, la collection des specimens, et des données sur les noms vernaculaires des plantes et leurs usages. Nos enquêtes du marché et les entretiens ont permis d’inventorier un total de 83 espèces de plantes médicinales, dont 71% étaient principalement utilisées comme aliments. Les feuilles râpées de Gnetum africanum Welw., Manihot esculenta Crantz et Ipomoea batatas (L.) Lam étaient les légumes les plus vendues comme médicament. Alors que les noix de cola, le beurre de karité, Aloe vera (L.) Burm.f. et Mondia whitei (Hook.f.) Skeels étaient les principales plantes médicinales non comestibles vendues. La santé des femmes, les aphrodisiaques et les plantes rituelles étaient les plantes médicinales les plus dominantes, alors que les affections dites de culture étaient faiblement représentées dans les usages des plantes. Malgré que la majorité des clients à Matonge soient d’origine Congolaise, la plupart des vendeurs des plantes venaient d’ailleurs. Les Pakistanais dominaient le commerce des aliments et les plantes typiquement Congolaises étaient des fois remplacées par des espèces Ouest Africaines, créant ainsi une confusion des noms vernaculaires. Les magasins gérés par les Africains représentaient plus de plantes médicinales en stock comparativement à ceux gérés par les Pakistanais, et presque toutes les plantes médicinale non comestibles étaient vendues par les Africains. L’inspection des points formels de vente n’a pas couvert l’entièreté de la diversité floristique à Matonge: les plantes médicinales non-comestibles étaient aussi vendues depuis des adresses privées, et par des vendeurs ambulants, probablement pour réduire les couts, les taxes exorbitantes, et le contrôle par les autorités. Nous espérons qu’à l’avenir, l’augmentation du loyer, une réglementation stricte et la diminution des investissements par la communauté Congolaise obligera le commerce des plantes médicinales à Matonge de disparaitre dans l’informel.

中文翻译:

布鲁塞尔(比利时)Matonge-Ixelles的非洲药用植物贸易。

保持文化认同和偏爱使用草药治疗受文化束缚的疾病,是移民移居欧洲和美国后继续使用其祖国的药用植物的动机。由于进口外来食品通常比草药容易,因此移民经常转向使用兼作食品和药品的物种。本文的重点是布鲁塞尔(比利时)刚果社区中非洲药用植物的贸易。Matonge出售哪些非洲药用植物,它们来自哪里,食品在多大程度上?供应商的种族会影响所出售草药的多样性吗?我们假设Matonge的大多数药用植物,贸易商和客户都来自刚果,大多数用于药用的植物主要是粮食作物,与文化相关的疾病在药用植物的使用中起着重要作用。2014年,我们进行了一项市场调查,其中涉及19家商店的药用植物清单,并与10名非洲人后代客户进行了访谈,代金券收集以及有关当地名称和用途的数据收集。我们遇到了83种药用植物,其中71%主要用于食品。Gnetum africanum Welw。,Manihot esculenta Crantz和Ipomoea batatas(L.)Lam的切丝叶子是最常出售的具有药用用途的蔬菜。可乐坚果,乳木果油,芦荟(L.)Burm.f.和Mondia whitei(Hook.f.)。龙骨是销售的主要非食品药品。妇女的健康,壮阳药和礼仪是最重要的医学应用,但是与文化相关的疾病并没有完全控制植物的使用。尽管Matonge的大多数客户是刚果人,但大多数供应商和植物种类却不是。巴基斯坦人主导了食品贸易,典型的刚果植物有时被西非物种所取代,从而使当地名称混乱。与巴基斯坦人管理的商店相比,非洲人管理的商店存有的药用植物种类要多得多。几乎所有非食用草药都由非洲人出售。除非正式商店外,非食品草药还从私人住宅和救护车贩子那里出售,这可能是为了降低成本,逃税和当局的控制。我们希望未来会增加租金,严格的规定,刚果人社区减少的投资将迫使Matonge的药用植物贸易进一步向地下发展。布鲁塞尔的Matonge-Ixelles的非洲植物药商行(比利时)。L'Ethnobotanique urbaine,在欧洲和欧洲,特别是在植物移徙方面具有特殊的用途,并且在发展过程中受到了科学的追捧。预防和维护文化特征的双重权利,以植物药为基础的文化,以积极进取的移民身份构成继承人,继承人和药典的继承人,并由原始人支付费用。常见的病情加上进餐的便利性,特别是对植株的保护,对移民的热情对待,尤其是对双重使用的保护,对食品的保护等。非洲人在非洲的商业中心,非洲的刚果人民共和国,马其顿-伊克塞尔人,刚果人民共和国的刚果人民共和国。Quelles plantesmédicinalesAfricaines sont venduesàMatonge,de quelle起源于provellet-elles吗?Dans quelle mesure cesanteselletàla fois alimentaires etmédicinales?vendors的民族影响力使vendices的香草多样化?康乃狄斯州野生动物和动物研究中心的原始人,以及康乃莱兹人的原始文化和动物历史的双重荣誉。2014年3月法国机械工发明奖19点,Entrepiens avec拥有10个非洲原住民客户,标本收藏集以及普通话,法语和法语的用法。禁止在任何情况下对任何一种植物或植物进行枚举,总共需要83种植物,特别是不占71%的主要管理用途的纪念性食品。威斯康星州非洲野生动植物保护基金会(E. feuillesrâpéesde Gnetum Africanum Welw。),香菇和番薯(L.)Lamétaientleslégumesles加vendues commemicement。Alors que les noix de cola,芦荟dekarité,芦荟(L.)Burm.f. et al Mondia whitei(Hook.f.)非食品类的无骨植物。女神之歌,壮阳植物和植物之美,植物之美和优势之美,植物人对情感的尊重使植物多样性得以延续。Malgréque lamajoritédes客户àMatonge soient d'origine Congolaise,la plupart des vendeurs des plantes venaient d'ailleurs。巴基斯坦的饮食业和植物业典型地是刚果(金),是最古老的非洲人,又是普通话的生死攸关的人。在巴基斯坦的ceuxgéréspar les的非洲地区的magasinsgérésles非洲的repressientient以及de plantesmédicinales以及其他有价证券的非洲植物等非食用食品。马其顿花店多元化经营点检定书:禁止在非食用植物上食用植物,以及在贩卖者,概率高昂的税收,过高的税负,以及自动控制等方面的供应商。法定代表人努斯·埃斯皮隆·罗伊·埃洛菲尔·努埃斯·埃斯佩隆斯·杜埃维尔·罗伊斯·埃斯皮隆·罗伯特·诺伊·埃斯佩隆斯·罗伊斯·阿波尼尔·罗伊斯·诺伊斯·埃斯佩隆隆 布鲁塞尔的Matonge-Ixelles的非洲植物药商行(比利时)。L'Ethnobotanique urbaine,在欧洲和欧洲,特别是在植物移徙方面具有特殊的用途,并且在发展过程中受到了科学的追捧。维护文化特征和文化特征的维护原则 积极进取的移民组织的组成部分,继承人,退休者以及药典的继承人,leurs支付原产地证明。daccess-ods.un.org daccess-ods.un.org 加上普通的进餐食品就可以使植株变得根深蒂固,而移民则可以轻松地解决这些问题,特别是可以双重使用,也可以在食品和药品上得到很好的利用。非洲人在非洲的商业中心,非洲的刚果人民共和国,马其顿-伊克塞尔人,刚果人民共和国的刚果人民共和国。Quelles plantesmédicinalesAfricaines sont venduesàMatonge,de quelle起源于provellet-elles吗?Dans quelle mesure cesantes elletàla fois alimentaires etmédicinales?vendors的民族影响力使vendices的香草多样化?威尼斯植物园的巴黎圣母院 刚果人的原始人和原始人,以及花草植物的原始文化和文化的病魔。vendes vendes vensesdélédeléleprépondérantdans l'usage 2014年3月法国植物创新者联合会奖得主,非洲原产地的19点,非洲原住民组织的10位客户,标本收藏品以及植物学和历史名著的用法。禁止在任何情况下对任何一种植物进行上市,总数量不超过83种,特别是不占71%的所有权委托工具收益。威斯康星州非洲野生动植物保护基金会(E. feuillesrâpéesde Gnetum Africanum Welw。),香菇和番薯(L.)Lamétaientleslégumesles加vendues commemicement。Alors que les noix de cola,芦荟和芦荟。F。et al Mondia whitei(Hook.f.)非食用食品委派。女性神殿,壮阳植物和药用植物以及优势种,对文化的认可和贡献,也代表着植物的使用。Malgréque lamajoritédes客户àMatonge soient d'origine Congolaise,la plupart des vendeurs des plantes venaient d'ailleurs。巴基斯坦的饮食业和植物业典型地是刚果(金),是最古老的非洲人,又是普通话的生死攸关的人。在巴基斯坦的ceuxgéréspar les的非洲比较,在非洲地区的非洲magasins lesrérésentaientplus de plantesmédicinales et presque tos les plantesmédicinalenon foodsiblesétaientvendues par les Africains。在马其顿举行的多种多样的植物交易中的点检:在非食用食品上的非食用植物在法国私人商店出售,在旺达的救护车上出售,在商店出售征收高昂的税款,以及自动控制的税款。法定代表人努斯·埃斯皮隆·罗伊·埃洛菲尔·努埃斯·埃斯佩隆斯·杜埃维尔·罗伊斯·埃斯皮隆·罗伯特·诺伊·埃斯佩隆斯·罗伊斯·阿波尼尔·罗伊斯·诺伊斯·埃斯佩隆隆 禁止在非食用植物上食用植物,以及在贩卖者,概率高昂的税收,过高的税负,以及自动控制等方面的供应商。法定代表人努斯·埃斯皮隆·罗伊·埃洛菲尔·努埃斯·埃斯佩隆斯·杜埃维尔·罗伊斯·埃斯皮隆·罗伯特·诺伊·埃斯佩隆斯·罗伊斯·阿波尼尔·罗伊斯·诺伊斯·埃斯佩隆隆 禁止在非食用植物上食用植物,以及在贩卖者,概率高昂的税收,过高的税负,以及自动控制等方面的供应商。法定代表人努斯·埃斯皮隆·罗伊·埃洛菲尔·努埃斯·埃斯佩隆斯·杜埃维尔·罗伊斯·埃斯皮隆·罗伯特·诺伊·埃斯佩隆斯·罗伊斯·阿波尼尔·罗伊斯·诺伊斯·埃斯佩隆隆
更新日期:2019-11-01
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